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Nom du personnage : Roderich Edelstein Sexe : Masculin Age : A peu près 26 ans en apparence Occupation : (Professeur, surveillant, étudiants) Professeur d'histoire Race : Personnification Orientation Sexuelle : ~ Autre chose sur ton personnage : A la base c'est la personnification de l'Autriche, mais à voir si c'est possible dans ce contexte... Couleur utilisé pour le RP : darkslateblue Double Compte : (Répondre par oui ou non) Non
Ce que je vois dans le miroir
Le piano impeccable lui renvoyait son image. Cette image, cela faisait longtemps qu'il la possédait. Il l'avait poli jusqu'a la perfection, elle était la plus fidèle representation de lui même et le satisfaisait pleinement. Tout jusqu'a sa mèche rebiquant était évoquateur de sa grandeur et de sa noblesse. Dans le bois vernis et luisant il pouvait voir jusqu'a l'éclat améthyste de ses iris. Cette couleur même était le reflet de la beauté de son âme d'artiste. Il remonta sur son nez ses fines lunettes, et se leva du vénérable instrument. En quête d'un vrai miroir, il se remémora la maison de Germany qu'il avait quitté à regret, mais le pire avait sans doute été de se séparer d'Hungary.
Il trouva rapidement son miroir dans lequel il s'admira de pied en cap. Ses vêtements anciens lui laissaient son air noble d’antan, ce temps ou il avait vu naitre les plus grands compositeurs de musique classique. Il était le pays des arts et de la noblesse et ne voulait pas que le temps lui enlève cela. Il lui avait déja retiré son prestige au regard des autres nations et l'avais relégué à un plan secondaire. Lui, l'ancien Empire Austro-hongrois, ne pouvait que se permettre de garder comme tout titre de noblesse la trace de son passé, représentée par son uniforme bleu roi, à l’ancienne mode, passé et vieilli. Il était une nation qui avait vieilli, bien que son visage soit resté aussi jeune. Sa peau pâle et son corps frêle suggéraient son régime casanier et le fait qu'il fasse peu d'exercice. On l'imaginerais mal combattre directement, délicat comme il paraissait....
Ce qui se passe dans ma tête
Le meilleur adjectif pour qualifier Roderich aurait pu être "hautain" si cela n'était pas qu'une face de celui ci. Tsundere à ses heures, le pays se montrait doux uniquement avec ses proches. Prompt à la remarque facile et aux reproches acerbes, il avait plus tendance à s'isoler des autres qu'a s'en rapprocher, de par son attitude. Pourtant, même si il semble accorder beaucoup d'importance à la musique, souvent bien plus qu'aux relations, il n'en reste par moins plein d'attentions pour ceux qu'il considère comme proche de lui. Ne regardant pas à la dépense pour sa nourriture, il est néamoins souvent décrit comme quelqu'un peu prompt à acheter. Tout son argent passe donc dans le luxe qu'il s'accorde en nourriture couteuse.
Souvent orgeuilleux, il n'hésite pas à corriger ceux qui semblent salir son honneur. Il ne tolère ni insulte ni ragots à son propos, et son statut de professeur lui permet d'établir sa propre forme de justice. Tout en restant evidement dans le reglement établit par le proviseur - bien entendu-. D'ailleurs bien que dans les couloirs il laisse les surveillants gérer le troupeau des élèves, en classe, il prend en charge ce qu'il se passe d'une main de fer. Il ne s'énerve jamais verbalement, exprimant sa colère à travers son piano, qu'il a fait installer dans la salle des profs a cet effet. En réalité, globalement il est calme, même lorsqu'il désire "corriger" ses élèves. Il tolère l'échec et moyennant le fait qu'un élève s’intéresse a ses cours il pourra montrer un peu plus de sollicitude.
Il est en général solitaire, et un peu rêveur, surtout dans les couloirs hors de ses quartiers. Il apprécie les cadeaux (vous savez ce qu'il vous reste a faire bande de tricheurs '^'), bien qu'il puisse les refuser par simple fierte.
Ce que j'ai fait de ma vie
Sa lourde valise glissa de sa main et tomba lorsqu'il vit ce grand batiment qu'était le pensionnat. Le vent passait, non chalament, secouant ses courts cheveux sombres. Ses larges vetements volèrent, simples pans d'etoffe suivant l'onde rebelle. Les gens entraient sans faire atttention a lui, ni a sa valise bien trop lourde qu'il avait porté a bout de bras depuis la gare. Son pays n'avait pas pu lui fournir un hélicoptère et de tout manière il n'était pas comme América, il n'avais pas besoin de se faire remarquer dans toutes ses actions. La seule chose que les gens devaient remarquer de lui devait être sa noblesse naturelle, la noblesse de l'Autriche ! Certes, sa langue natale n'était pas aussi mélodieuse que l'Italien ou le Russe, mais bien que gutturale, elle avait ses charmes. Il ramassa sa valise, replaçant son étui a violon de sorte a ce qu'il puisse porter les deux sans être géné. Il avait ramené bien trop de choses inutiles, souvenir de son pays et son vieux dos gémissait de devoir assumer ce poids sentimental.
L'empire millénaire qu'il fut, restreint aujourd'hui a son noyau vital, avait vécu bien trop de choses pour que tout soit raconté. Il y avait eu bien sur, sa naissance dont il ne pouvait se rapeller. Il se rapellais avoir eu beaucoup d'allié et d'ennemis puis de s'être uni à Germany avant de subir la même défaite et humiliation que lui. Puis il était devenu indépandant et avait voulu rompre avec ce passé de guerres incessantes. Du coup, et a la demande du proviseur, il était venu ici pour remplacer l'ancien professeur d'histoire auquel il était arrivé des problèmes graves entrainent une mort prématurée.
Il laissa ses affaires a une dame de service, gardant uniquement sur lui son étui a violon puis se fit guider jusqu'aux appartements du proviseur. L'homme était assis à son bureau. Il lui faisait penser à América avec son sourire et ses lunettes et son attitude globale. Il s'assit face a lui.
- Mon cher Austria ! Vous permettez que je vous appelle Austria ? C'est vrai qu'il peut paraitre ironique que ce soit l'Autriche en personne qui donne les cours d'histoire et géographie mais je suis convaincu que vous saurez être impartial, surtout quand vous aborderez les questions des guerres.
- Oui, monsieur. C'est un honneur d'être invité dans un établissment si renommé dans le monde magique. Il est bien entendu que je ne vous décevrez pas. J'espere juste que vous avez pensé a installer un piano dans ma chambre.
- C'est à dire que ce fut coûteux, mais vu que c'est vous qui payez cela s'est fait rapidement. Lizzie vous conduira a votre chambre. Vous commencerez les cours demain, voici votre emploi du temps.
Il lui tendit une feuille de papier que la nation parcouru rapidement du regard. Puis, il quitta le bureau du proviseur guide par une charmante demoiselle qui semblait être la Lizzie en question...
~flashback, the real face of history~
Naître en tant que marche ~ Vaincre en tant que duché.
La maison des Babenberg était en effervescence. Juste après que Léopold eut annoncé la fondation de la marche d'Ostarrichi dont il serait margrave, un tout jeune enfant que l'on disait fils de Germanie avait été trouvé au sein de la maison. Paisible, ce n'était point un poupon mais malgré qu'il puisse se tenir debout, ses grands yeux violets scrutaient encore le monde avec un air d’étonnement. Le jeune enfant était loin de ressembler a son ancêtre germain, physiquement, cheveux châtains foncés, corps frêle et yeux violets l'on aurait presque pu penser qu'il avait un lien avec Rome. Et en un sens le territoire sur lequel la nation en devenir était née appartenait jadis à Rome. On lui donna un nom humain afin qu'il puisse vivre au sein de la famille : Roderich, de hrod, « gloire » et rich « puissance » désignant les ambitions de la maison, Edelstein, « noble pierre ». Rapidement la maison Babenberg le prit sous sa tutelle et l'envoya combattre. Après tout la petite marche avait été crée dans ce but. Cependant, loin de toujours vaincre, on lui retira la Bavière qu'on lui avait donné comme ami quelques années auparavant. Pour le consoler lui et la famille Babenberg on l’éleva au rang de duché. Ainsi il prit de l'assurance et quitta petit a petit ses airs de tout jeune enfant. L'alliance avec Ottakar lui procura le territoire de la Styrie.
Le jeune duché se consacra dans la guerre avec ses voisins poussé par son duc ce qui éveilla le courroux de l'empereur du Saint Empire qui tenta de mettre la main sur lui. Après avoir subi quelques déchirures, Ostarrichi s'en remit tant bien que mal avec pour le diriger son duc de nouveau. Il subit des altercations avec la Hongrie, sa robuste voisine et y perdit son duc. Les deux ne s'appréciaient pas a cet époque. Bien qu'encore tout jeunes ils se montraient sans scrupules a l'égard l'un de l'autre. Ottakar, roi de Boheme eut un court règne sur le duché, avant que Rodolphe de Habsbourg ne vienne le chasser du pouvoir aidé par la Hongrie et le mécontentement de l'Autriche lui même.
Habsboug et Saint Empire ~ La noblesse d'une nation.
La domination des Habsbourg fit de lui une nation hautaine, sapant sa naïveté enfantine et le plaçant au rang de jeune maître dans une maison ou il voyait défiler ses semblables en fonctions de ses pertes et conquêtes. Bien que semblant a peine sortit de l'enfance Roderich n'en avait pas moins une certaine autorité et une énergie a toute épreuve. Lorsque les Habsbourg obtinrent la régence du Saint Empire, une foule de ses semblables débarquèrent chez lui. Sa croissance ne semblaient pas avoir de limites jusqu'à ce que durant le règne de Albert II il eut a faire face une période de crise importante et a la Grande Peste qui le laissèrent exsangue.
Il vit par la suite défiler les monarques et les dissensions. Son territoire séparé puis raccommodé de multiples fois lui fit alterner des périodes de santé avec des périodes de grande faiblesse. Durant ce temps il se fit le tuteur du jeune représentant du Saint Empire et l’éleva a tout ce qu'un jeune noble se devait de savoir. Il n'était pas plus âgé de beaucoup mais les deux ayant les même dirigeants il se sentait indubitablement de la même famille en venant a se figurer que le jeune blondinet était son cousin. Hongrie vint rejoindre sous Albert V sa maison en tant que servante. La fougueuse nation soumise a ce jeune noble qu'elle méprisait jadis ne s’accommodait guère de ce rôle. Frédéric III réunifia ensuite toute l'Autriche mais c'est sous Maximillien Ier que la nation gagna toute sa puissance et son influence. Cependant il agissait plus par mariages que par guerres et ainsi s'ensuivit des troubles au sein de l'Europe car les autres pays finirent par se sentir menacés par l'imposante taille que prenait l'Autriche. « Que les guerres soient menées par les autres, toi, heureuse Autriche, marie-toi ! » C'est ainsi que fut la devise de l'Autriche sous son règne. Le cœur vide de sentiments pour ces nouveaux alliés qu'on lui offrait le duché s'en accommodait. L'Espagne rejoignit sa maison.
Après avoir affronté l'Empire Ottoman qui avait osé s'approprier SA Hongrie, qu'il arrêta avec fougue, l'Autrichien s'empara de l'Italie du Nord croissant encore et toujours. Ses rapports avec la belle Hongroise avaient évolué en une sorte de complicité respectueuse. Bien que toujours servant chez lui la demoiselle semblait prendre plus de plaisir a sa condition.
« Il appartient à l’Autriche de régner sur le monde entier » ~ Devise des Habsbourg.
Sa maison bien remplie Autriche put se consacrer aux arts notamment a la musique. Puis vint la grande reine Marie-Thérese qui subit la pragmatique sanction à savoir la guerre de succession et la guerre de 7 ans qui chaque fois opposa l'Autriche a la Prusse. Devenant de bons ennemis les deux nations finirent par signer une paix qui ne fut au final que peu contraignante pour le perdant. En cette époque Roderich se sentit proche de Marie Thérese et fut prêt a l'épauler alors que toute l'Europe était contre elle. Le temps passa alors que des troubles tels que des révolutions notamment en France agitèrent l'Europe. Après l'assassinat de l'autrichienne reine de France, Marie-Antoinette la nation ne pouvait rester passif et déclara la guerre a la France.
Après la défaite d'Austerlitz face a la France, le Saint Empire Romain Germanique fut détruit. Se rendant coupable de la chute de son jeune protégé, le représentant de l'Autriche referma alors totalement son cœur et la porte de ses sentiments. Seule la Hongrie pouvait encore percevoir sa sensibilité car les deux toujours plus proches et plus liés commencèrent a avoir dans l'idée de se marier. Il tenta une alliance pour contrecarrer l'avancée de France avec Russie et Prusse mais sans grand succès car il se disputa avec la Russie au sujet des Balkans et avec la Prusse au sujet de l'unité allemande. Puis Napoléon fut vaincu et le congrès de Vienne lui permit de retrouver un peu de son panache.
En 1867, il élèva son ancienne servante au rang de femme. L'empire Austro-Hongrois fut fondé pour pallier aux défaites en série de l'Empire de l'Ouest.
Ère moderne ~ Guerres mondiales.
Lorsque l'Empire Allemand fut fondé ses cousins germaniques virent tous en lui la résurrection du Saint Empire mais son caractère ne confirma pas leurs prémonitions. La vue de cet homme si proche physiquement de son jeune protégé troubla Roderich. Le 28 juin 1914, l'héritier au trône impérial, l'archiduc François-Ferdinand et sa femme furent assassinés à Sarajevo. C'était le début de la première guerre mondiale car voyant cela comme un ultimatum le dirigeant d'Autriche l'envoya se battre s'alliant avec les autres Empire. La Triple Alliance naquit. L'Autriche-Hongrie s'engaga dans cette guerre avec morosité, n'éprouvant aucunement le même enthousiasme que connaissent l'Allemagne ou la France au début du conflit. La Hongrie refusa même de s'y mêler dans un premier temps. L'Autriche ne tint pas longtemps, son budget de guerre étant bien trop faible. Son armée fut vite ridiculisée. Détruit et réduit dans sa dignité comme dans son territoire, l'union avec Hongrie se brisa. Il fut laissé seul, malheureux à la fin de cette guerre contraint de devenir une république et subit de lourdes sanctions économiques, militaires et géographiques. Il reste longtemps cloîtré chez lui a travailler pour se refaire une santé. Ne prenant plus de repos il tenta dans ce contexte d'entre deux guerres de récupérer.
Pour assurer sa survie il essaya d’être intégré a l'Allemagne mais tous refusèrent. Dans un état critique, trop petit pour assuré sa subsistance, l'état fit face a de grave crises lui causant beaucoup de souffrances. Hitler finit par regarder de très prêt cette Autriche affaiblie afin de chercher a l'annexer. Durant cette époque sous influence de gauche, l'Autriche se montra méfiante a l'égard des fascistes. Pour contrecarrer cela il chercha du soutien chez ses autres voisins. L'Italie lui suggéra l'autofascisme. Chez lui il ne sera pas autoritaire mais axé sur la religion. Le caractère germanique de l'Autriche fut accentué mais il refusa le nazisme. Puis une guerre civile éclata. Puis en 1938, l'Anschluss. Autriche ne refusa pas, bien trop faible et subissant trop de pression pour encore résister a cela. Il s'installa chez Allemagne durant la guerre et suivit tout les directives de celui ci.
Participant activement au nazisme son territoire ne devint champ de bataille qu'en 1945. La résistance fut peu représentée mais présente et libéra certaines villes avant l'arrivée des Alliés. Après la guerre Autriche fut enfermée et détenu par les alliés. Cela jusqu'à ce qu'il retrouve son indépendance. Ensuite il devint indépendant et neutre comme la Suisse. Une période de prospérité calme s'ensuivit. Autriche entra a l'ONU et fit la connaissance de nombres de ses congénères. Malgré sa nouvelle neutralité il adhéra a l'Union Européene pour se protéger des insurrections balkanes. Cela aurait pu très bien continuer comme cela. Son économie prospérait et la vielle nation prenait un repos bien mérité.
Ce que je suis capable de faire
Le violon lui est indispensable pour utiliser ses pouvoirs, a moins qu'il n'aie un piano a proximité. Il a deux types de pouvoirs qui ne peuvent s'activer que quand il joue et non selectivement, tout les gens qui vont entendre sa musique en subiront l'effet hormi lui même.
Sinfonien schüchtern : La musique apaise, ralentit et peut provoquer jusqu'a un endormissement des cibles. Elle à pour efet de calmer des conflits, bien que les effets ne durent pas forcement le même temps en fonction des individus.
Sinfonien geherzt : La musique tonifie, donne de l'énergie et galvanise. A l'exces, ce pouvoir peut donner des envies de se battre, bien que Roderich sache ou se situent les limites. Comme la sinfonien schüchtern son temps d'action varie en fonction du caractère des indivdus.
Ses capacités de combats se concentrent sur une très bonne maîtrise du tir avec ses pistolets et de l'usage de grenades. Au corps à corps il reste très faible, peu rapide et peu endurant. Le seul atout sur lequel il peut compter dans cette situation est son immortalité.
Ce que je suis vraiment
Prénom : ~ Âge : 16 ans Ce que vous aimez faire, vos hobbies : plein de choses, comme la majorité des gens qui s’inscrivent sur ce genre de forums Comment avez-vous connu le forum ? : J'y était déja avant, pour sa création et j'ai été modo pendant une période ^^' Votre disponibilité pour le forum ? : Aléatoire Un truc à dire en plus ? Un commentaire ? : Trinquons avec des bottes !
Dernière édition par Roderich Edelstein le Lun 21 Juil - 9:27, édité 7 fois
Sujet: Re: Sie kennen zu lernen Mar 4 Fév - 22:34
Ino Takebawa Sexy lady - Élève ♀
Messages : 38 Rubis : 100 Date d'inscription : 30/11/2013 Age : 24
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUE ! ♥ JE TE VEUX EN PROF D'HISTOUARE ! *o*
Sujet: Re: Sie kennen zu lernen Mer 5 Fév - 16:42
Hayato Akisame Sexy boys - Élève ♂
Messages : 108 Rubis : 0 Date d'inscription : 06/01/2014 Age : 30
Bienvenue à toi sur Kagaribi!
Avant même de commencer à parler de ta présentation, je dois limite la recommander à tous ceux qui voudraient voir du beau rp car franchement, son style d'écriture est vraiment agréable.
Les descriptions, je les ai lu avec beaucoup de plaisir et ta façon de décrire ton personnage est vraiment impressionnante et de même en ce qui concerne ton mental. Rien à redire là-dessus!
L'histoire est bien tourné autour du pensionnat, on y comprend très bien pourquoi tu es là et ta volonté à nous enseigner. Tout ça encore une fois écrit dans un style très intéressant et plaisant. Pour tes pouvoirs, ça me va parfaitement, je ne trouve rien à refuser dessus.
Tu obtiens ma validation et mes sincères félicitations pour m’en avoir mis plein la vue avec cette présentation, en espérant que tu obtiennes une deuxième validation dans peu de temps.
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Sujet: Sie kennen zu lernen 
Mar 4 Fév - 20:35
